La poésie !

En ses lieux c'est le vague à l'âme,
moi aussi certain moment je me demande
qui es tu vraimment fais tu tout pour qu'on ne te blame
peu importe finalement personne ne me mettra d'amendes...

Car qui est plus seul que celui qui est entouré
c'est toujours seul face à soi même
que l'on règle sérieusement ses problèmes
désolé mais je n'ai le temps de continuer....

je ne suis pas d'accord
car si tu n'es âs entouré
tu peux te montrer fort
mais pas dans la durée

car de par sa nature
l'homme et gregaire
ainsi pour penser au futur
il nous faut des bebe faires

Tu dis ceci car heureux pour toi
un bel évènement nous as tu annoncé
mais dans un monde si malfamé
la vie aucunement je ne peux donner avec joie

Peut être que je suis encore trop utopiste
mais certain me trouveront un brin égoiste
Je demeure bien trop contestataire
face à trop d'inégalités dans lesquels je ne peux me complaire

Ainsi ce que je ne veux pour moi
je ne peux le vouloir pour le fruit de ma chaire
mais ce que je voulais dire avec moins d'effrois
Que personne autre que soi ne pourra en lui même y voir plus clair.

un bon appetit
Seigneur Dreky
et comme on y pense
ne vous eclatez pas la panse,
ca rend malade
et parfois d'humeur maussade

(ou le contraire exactement...)

Il est bien dommage de ne plus pouvoir vous lire
que je dois vous l'avouer, c'etait un plaisir.

Mais la vie est ainsi faite
Elle n'est jamais parfaite

au syndrome de la page blanche
il faut sortir les atouts de sa manche

Aujourd'hui c'est quitte ou double
vous avez choisi sans trouble.

(Je me permets...)

Il fut une époque, où d'encre je couvrais le papier,
Simplement, comme l'amour coulait dans mes veines.
Où les mots, limpides, je laissais s'exprimer,
Car aucun d'eux n'était emprunt de peine.

Aujourd'hui, l'encrier est assèché, le papier chiffonné.
Et mon imagination me semble alourdie par des chaînes.
Si hier, écrire me semblait simple comme respirer,
Ce soir, je suis totalement à court d'haleine.

Entre nous, le feu qui brulait a fini par se consummer.
Et je pleure cette flamme qu'il a fallu que le temps éteigne.
Jusqu'au bout j'ai cru que je pourrais la raviver,
Cette lueur dans tes yeux qui me faisait reine.

Dans mes veines, seule la douleur continue à couler.
Dans mon encrier, je crois bien que l'encre va rester.

un encrier ou l'encre est demeurée
une simple plume pourra si abreuver
une main délicate s'en ira graffer des lettres
qu'aucun mauvais souvenir ne saura compromettre

les braises éteintes
prépares le terrain à de nouvelles étreintes
La vie froide et sans feu
non ceci n'est pas harmonieu

tout ceci n'est bien sur qu'écris
mais cependant les mots transposent certaines vérités
tout ceci pour chasser ses mauvais cris
et ainsi peut-être partager de ma positivité.

Hisser la grand' voile
Croire aux étoiles
Se prendre dans la toile
Trembler jusqu'à la moelle

Mais le vent est trop fort
Le ciel lance de mauvais sorts

Le mât fini par casser
La nuit par triompher
L'insecte par y rester
Le coeur par saigner.